Les changements d'énergies sont puissants..... Nombreux sont ceux qui éprouvent des douleurs physiques, des états émotionnels inconfortables, des relations conflictuelles, des difficultés matérielles, des scénarios pénibles qui se répètent....
Quelquefois des douleurs que l'on croyait guéries remontent en surface, on a l'impression que cela n'en finira jamais...
Le monde vit un chaos, avec une violence de plus en plus grandissante qui a l'air de ne plus en finir, un tourbillon incessant de contradictions, où on ne voit plus aucune issue favorable, où on a l'impression qu'il n'y a plus de chemin à suivre, où l'on peut se sentir perdu....
et pourtant...
Le nettoyage doit être total et non partiel, car il ne nous sera pas permis d'avancer à demi-mesures, à demi-teintes pour accéder à cette fameuse énergie de lumière qui est maintenant déjà présente sur la planète.
On devra pardonner aux autres, mais encore plus important, on devra se pardonner de les avoir jugés lorsqu'on aura compris qu'ils étaient enfermés dans leur chaos émotionnel et qu'ils ne pouvaient pas faire autrement....
On devra aussi apprendre à donner le meilleur de nous-mêmes avec nos limites, nos handicaps, et toutes choses en soi que l'on ne peut pas changer..... S'aimer imparfait, s'accueillir handicapé et être heureux quand-même est la phrase que je préfère et qui m'a libérée....
Il n'y a pas de solution toute faite, chacun devra trouver SA propre solution, mais ce qui est sûr c'est que cela viendra du plus profond de soi et avec un immense Amour pour Soi. ❤
Le nouveau monde est en marche aujourd'hui plus que jamais, préparons-nous à nous y adapter, car c'est lui qui nous montrera la voie de la réconciliation et de la fraternité universelle.
Nous devons chacun intérieurement vivre notre propre révolution intérieure et renaître du plus profond de nous, telle une mère aimant son enfant d'un amour profond et inconditionnel.
Je vous souhaite une bonne restructuration de votre Maison Intérieure et surtout plein plein d'Amour pour qui Vous Etes ❤
Auteur du texte : Maud Albertini